FLE

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jueves, 8 de octubre de 2015

Des Histoires pas finies

Vous devez finir ces histoires ou bien inventer d'autres sur le même modèle.



Une étrange plante 
Elle était là, au centre de ma chambre, placée entre le lit et l'ordinateur, à l'abri de la lumière. Ma mère l'y avait installée depuis un mois, sans doute à cause des travaux effectués dans l'entrée, mais elle me paraissait être là depuis une éternité.
Tous les soirs avant de m'endormir je la contemplais, ses longues feuilles me donnaient des frissons et ses grandes fleurs blanches m' hypnotisaient, c'est d'ailleurs cela qui m'endormait. Mais je restais de longues minutes à la regarder, seule dans mon lit, les murs me paraissaient alors vides et je ne voyais plus qu'elle.
Il arrivait que je me pose des questions : pourquoi me fascinait-elle ? Je ne trouvais jamais de réponses. Cela m'inquiétait un peu, mais pas assez car tous les soirs je la regardais de nouveau.
Un soir, comme d'habitude, je contemplais ma plante. Dehors le tonnerre grondait, mais je réussis à m'endormir. Brusquement, je fus réveillée par le grondement du tonnerre, je ne voyais rien, sauf les éclairs qui passaient à travers les volets. Alors les murs se mirent à trembler, les cadres de ma chambre tombèrent, mon lit devint tout froid.
J'étais pétrifiée, en sueur, les mains tremblantes, et je réussis à peine à me lever pour atteindre l'interrupteur. Quand j'allumai, elle m'apparut. Je n'en croyais pas mes yeux ! Mais je la reconnus. La plante était en train de grandir à une telle vitesse qu'elle emportait tout sur son passage, la tapisserie s'arrachait, le plafond s'écroulait et elle atteignait déjà au moins le grenier quand elle changea de direction et se retourna vers moi.
Mille idées me passèrent par la tête mais je restai comme collée à mon interrupteur, les yeux grands ouverts, dans la panique la plus totale.





Je m'appelle Denis je suis collégien a Largenté. Je vais donc vous raconter mon histoire qui a eu lieu dans la foret de Fontainebleau près de Paris. Je m'y promenais un soir de printemps, j'étais seul dans cette foret, il faisait noir dehors. Une brise fraîche balayait mes cheveux qui se collaient contre mon visage. La fine vague de pluie me rafraîchissait la face. De mes yeux noirs, j'analysais la bâtisse qui se tenait devant moi. J'aperçu de la lumière et une ombre contre le mur et je m'approchais peu a peu. Au fur et a mesure que j'avançais l'ombre disparaissait et l'éclairage diminuait a son tour, j'ai senti comme un souffle sur mon cou. Une haleine chaude qui pourtant me glaçait le sang, juste un murmure, il a suffit d'un simple mot pour me faire réagir à nouveau : Je me suis retourné brusquement me retrouvant face à ma pire frayeur....




Mystère Égyptien

On me l'avait offert, il y a maintenant trois ans, lors d'un voyage au Caire. Depuis, il était demeuré accroché au-dessus de la cheminée de ma chambre. C'était le portrait de Mykérinos. Un portrait magnifique. Le soir, lorsque j'étais sur le point de m'endormir, j'aimais le regarder, j'aimais fixer son regard sombre. Je m'étais toujours demandé comment était sa chambre funéraire et s'il avait cru à la résurrection.
Un soir, je compris. Je m'endormis en rêvant d'un voyage en Égypte. J'étais face aux pyramides. Je décidai de m'aventurer dans la pyramide de Mykérinos. C'était un vrai dédale. Dans la chambre funéraire, le couvercle du sarcophage me sembla bouger. Je sentis une montée d'adrénaline. Poussée par la curiosité, je m'approchai encore. Toujours plus près.
Tout à coup, le couvercle se souleva, une momie immonde s'assit, enjamba le bord et se tourna face à moi. Prise de panique, je me mis à courir comme je n'avais jamais couru.
Quand je décidai enfin de regarder derrière moi, je sentis le sol se dérober sous mes pieds et ce fut le trou noir !
Je me réveillai en sursaut et instinctivement regardai le tableau. Horreur ! Le tableau était vide ! Je me levai aussitôt. Elle était là, face à moi, avec sa hache, entourée de milliers de chats ! Flottant dans l'air, la momie s'avançait vers moi !



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